|
Groupe Episcopal de Fréjus.
un cloître et un ancien palais épiscopal.
Le mur-bahut du cloître est délimité aux angles par des piliers. Chaque côté présente neuf arcades brisées soutenues par huit colonnettes doubles de marbre, aux chapiteaux à feuilles plates ornés de motifs variés : coquilles, palmiers, fleurs de lys, palmettes, pomme de pin...
seul celui de la galerie nord a subsisté ; ses arcades sont en plein cintre et les chapiteaux de ses colonnettes ont un traitement légèrement différent de ceux du rez-de-chaussée.
une charpente dont les poutres reposent sur deux rangées de corbeaux moulurés. Réalisés vers le milieu du 14e siècle, ce plafond est orné de caissons peints disposés sur trois niveaux. Sur les 1 200 petits tableaux qui le décoraient, 400 environ sont encore lisibles : ils représentent des personnages civils, militaires ou religieux, et constituent, pour
plus de la moitié d’entre-eux, un bestiaire fantastique
particulièrement riche.
tous les jours, sauf le lundi, de 9h à 12h et de 14h à 17h.
de Fréjus qui rassemble l'essentiel du patrimoine médiéval et moderne de la ville.
Tous les mardis
et tous les jeudis à 10h00. Le Baptistète Paléochrétien.
Il s'agit de l'un des baptistères les plus anciens en France puisqu'il fut édifié à la fin du IVe siècle et au début du Ve siècle. A l'origine, ce bâtiment servait à baptiser les catéchumènes : ceux-ci rentraient par la petite porte et ressortaient par la grande. De plan octogonal, le baptistère est visible uniquement dans le cadre d'une visite guidée.
restauration de 1930 à 1932. Il se compose d’un bâtiment carré de 11 m 50 de côté, octogonal à l’intérieur.
petites niches. Les quatre niches des angles sont semi-circulaires et voûtées en cul-de-four; celles du milieu sont rectangulaires et voûtées en berceau.
dont huit sont aveugles et huit sont ouvertes par des fenêtres. Cela forme un plan à seize côtés sur lequel repose la coupole du baptistère, reconstruite au 19ème s. . découverte lors de fouilles en 1925. Autrefois plaquée de marbre blanc, elle était
peut-être coiffée d’un baldaquin porté
par des colonnettes.
|