Les hôtels particuliers et les villas:
dans le pâté de maisons entre la Porte Saint François et la rue Saint Pons (actuellement rue Gallus) qui à l'époque comporte un
grand nombre de propriétaires. Balthazar
CHAVIGNOT "hoste", c'est-à-dire aubergiste. Cette
description correspond à celle de l'Auberge du
CHAPEAU ROUGE. héritiers
que l'on peut retrouver grâce à l'examen
des cadastres ou autres documents d'archives.
sinon le propriétaire, en est Jean BELEGRAN,
aussi originaire de Draguignan, leur cousin par leur
mère. acte
passé devant Me TAXIL notaire à Fréjus
le 2 octobre 1748.
Catherine
Pélagie qui est d'ailleurs sa cousine germaine.
d'Hôtel DELUBAC, hôtel qui subsistera jusque vers 1945.
Maison Marie.
elle accueille depuis 1986 le musée d’histoire locale, fondé par l’association des Amis du Pays de Fréjus.
contre les murs de la plate-forme abritant les citernes de la ville romaine. De dimensions modestes, la demeure fut agrandie en 1903 et 1905 par son fils le sénateur Joseph Marius Thevenet. C’est à cette époque qu’elle prit le nom de « villa Marie ».
pour y accueillir les employés de la firme allemande pendant leurs vacances. Après la catastrophe du barrage de Malpasset (1959), la ville de Fréjus racheta la villa Marie avec l’aide de l’Association des communes
d’Europe et de la Croix Rouge internationale,
et y installa la bibliothèque municipale en 1963. entre
les années 1880 et 1920. et
de modillons. Un entablement décoré d’une
frise à motifs de palmettes supporte frontons
brisés, lucarnes et cheminées. A l’ouest, un avant-corps à pans coupés formant bow-window sert de terrasse au 1er étage. Cet élément fait écho au pavillon d’angle oriental, lui aussi agrémenté d’une terrasse.
accès
au parc, en contrebas de la villa.
d’espèces botaniques diverses dont beaucoup sont d'origine méditerranéenne ou exotique. Parmi les éléments les plus remarquables, citons les magnolias grandiflora, cèdres de l'Himalaya et de l'Atlas, l'épicéa pungens ou sapin du Colorado, les ifs, les palmiers Whashingtonia filifera, ainsi que les photinias,
lagerstroemias, et sophora japonica pendula (pleureurs).
chapelle
privée ornée de peintures murales. d’histoire locale de la Ville, seuls les portraits des Dussautois, habilleurs du roi Louis-Philippe et de la reine Marie-Amélie,
peints en 1843 par Victor Darjou, élève
de Leon Cogniet, ont été conservés
in situ.
Au pied de la demeure conservée, transformée en bibliothèque municipale, s’étend un jardin conçu sur un plan géométrique influencé par le jardin à la française. Les perspectives principales du parc valorisent la villa néoclassique, un bassin et une statue provenant du tombeau du marquis de Valbelle (fin XVIIIe siècle). Les plantations actuelles conservent quelques individus d’arbres datant de l’époque de la création de la villa (groupe de palmiers washingtonia). Les arbres du parc, qui privilégient les essences exotiques (palmiers, magnolias, cèdres…) reflètent l’esthétique des jardins des résidences de villégiature de la Côte d’Azur à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.
en 1906 pour un sénateur du Rhône, François Thévenet. La composition du jardin a été modifiée depuis son acquisition par la ville de Fréjus en 1963, mais celui-ci reflète toujours l’influence du jardin à la française pour son plan et
celle du parc paysager de la Côte d’Azur
pour le choix des essences. ……
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La villa Clythia a été
construite par l' ingénieur-architecte Pierre
Auble (1842-1925) qui travailla à Saint-Raphaël
de 1880 à 1925
et est l' auteur de nombreuses villas, du grand hôtel de Valescure (hôtel Coirier) et de l' église de Saint-Raphaël.
La villa Clythia a été construite pour Henri Guéneau de Mussy (mort en 1892) , médecin de l' Ecole Normale.
Depuis 1967,
c'est une maison de vacances.
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Cette résidence appartennait à la famille
Savelli et faisait partie de la donation de Mademoiselle
Marthe Savelli lors de
son mariage avec le maréchal Galliéni le 27 août 1882. A l'origine, il s'agissait de deux cabanes à sel, appelées " la Gabelle ".
Les cabanes furent réunies et reconstruites selon les plans de l'architecte Jully, que Galliéni avait rencontré lors de son proconsulat à Madagascar.
Joseph Galliéni,
né à Saint Béat en 1849 et mort
à Versailles en 1916, est enterré dans
le cimetière de Saint-Raphaël.
Utilisé comme poste de commandement des camps
du Sud-Est, le domaine a été racheté
à l'armée par la Communauté
d'Agglomération de Fréjus-Saint Raphaël et accueille la Maison du Combattant inaugurée le 9 janvier 2001.
Renseignements : Maison du Combattant - Tél.04
94 51 39 45.
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À un kilomètre du centre,
au Nord-Est de Fréjus, la Villa Aurélienne
se dresse au cœur d’un parc de 22 hectares,
caractérisé par sa végétation, de type méditerranéen et qui abrite de superbes vestiges de l’Aqueduc Romain.
D’une superficie de 1 700 m2, cette belle demeure de style palladien, a été construite au cours des années 1880 par J. H.Crawford
et acquise en 1913 par la famille Schweisguth. Devenue propriété de la Ville le 14 Octobre 1988, cette villa, inscrite à l’inventaire
supplémentaire des Monuments Historiques, a été rénovée dans l’esprit de la fin du XIXe siècle sur le modèle de la Renaissance Italienne.
Labellisée par le Conseil Général du Var, la Villa Aurélienne est devenue un lieu plus particulièrement consacré aux expositions photographiques.
Elle accueille également des manifestations culturelles de qualité, concerts, conférences, colloques, etc… Parallèlement,
la villa est utilisée par la municipalité comme lieu de réception et d’accueil des hôtes de marque.
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Pièce
centrale de la villa.
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Plafond de la
villa.
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Le parc est ouvert au public tous les
jours :
Été de 9 h 00 à 19 h 00
Hiver de 9 h 00 à 17 h 00
Avenue du Général d'Armée Calliès.
+ 33 (0)4.94.52.90.49 - Fax + 33 (0)4.94.44.47.17
villa.aurelienne@wanadoo.fr